J’apprécie, tu aimes, il/elle adore, parfois nous
lançons en riant « je suis addicte » et voilà un
nouveau verbe, apparu dans notre vocabulaire,
banalisé.
Qu’est ce qui se cache derrière cette conduite ?
Une pathologie ? Un moyen de combler une
frustration ? Une maladie chronique du cerveau ?
Un trouble banal ? Mais